Hôpitaux de Luchon

Embrouilles au sein des hôpitaux de Luchon 31110

Ce qu'il s'est passé le 21 janvier 2015

Rédigé par admin - -

Le directeur "n'étant pas disponible" et devant l'urgence de régler cette situation, un RDV m'a été proposé avec Mr Méchain, coordinateur de soin ou du moins, selon ce que j'ai compris quand il s'est présenté "chargé de la relation usager/hôpital".

Déjà, j'ai été reçu dans une "salle de réunion" (de formation apparemment car il y avait un rétroprojecteur)  et non pas dans un bureau discret qui aurait été plus propice à un échange de ce type. "On" aurait voulu me mettre dés le départ mal à l'aise qu' "on" ne s'y serait pas pris autrement.

Très rapidement, le discours de ce monsieur que je croyait être un médecin au départ (coordinateur de soin) a donné des éléments qui contredisaient discrètement mes précédentes affirmations auprès du personnel soignant dans le service et c'était tellement crispant que je lui ais demandé une feuille de papier et un stylo pour prendre des notes en guise d'aide mémoire.

Et heureusement que j'ai fait ça car en méditant cette entrevue dans les heures qui ont suivi, je me suis aperçu que la plupart des propos , que ce soit ceux de ma maman, des soignants, du médecin et les miens étaient savamment tordus et je me félicite d'avoir niaisement acté par écrit mes sentiments auprès de ces différents intervenants dés que j'ai commencé à sentir l'embrouille. 

Et embrouille il semble qu'il y ait comme vous le présumerez peut-être en lisant les pages de ce site. Pour le moment, des "présumées" embrouille.

Ce qui m'a étonné et qui est particulièrement choquant, ce sont les mensonges inexactitudes de cet homme à propos de faits que ne sont plus de simples "dysfonctionnements de service" ou autres "déficits de communication au sein de la structure"  mais apparaissent plus comme étant une volonté délibérée de noyer le client.

Ce qui est intéressant de constater, c'est qu'il n'a jamais, avec des arguments approprié pour aider une famille en souffrance tenté de m'emmener à penser que je fais fausse route.

Non, non, il a préférer dire par exemple...
 
- J'ai vu votre mère tout à l'heure et elle m'a dit "qu' elle connaît des gens à Era Caso et que certains s'y plaisent
 
Hé ben moi je dis que c'est faux et que si elle a vraiment dit ça, c'est qu'elle est complètement gaga (ce qui n'est pas le cas) ou sous suggestion car je suis bien placé pour savoir qu'elle ne connaît personne dans cette maison de retraite si ce n'est et encore  d'ancienes vagues connaissances qu'elle n'a même pas croisé depuis des années.
 
Je le sais car je vis pratiquement avec elle et c'est moi qui la sort de la maison pour aller faire des courses ou aller promener. Je sais très bien qui elle fréquente c'est à dire pas grand monde.
 
De plus, même sans être médecin, tout le monde sait que les dires d'une petite vieille dans les conditions actuelles particulièrement éprouvée sont sujettes à caution et, si Mr le Coordinateur de soin n'a trouvé que cela pour essayer de me convaincre, c'est qu'il n'a vraiment pas autre chose à  se mettre sous la dent. Il s'en rend ridicule.
 
Bien sûr, il pourra toujours prétendre pour se défendre quand cela sera le moment "qu'il n'a jamais dit ça"  ou de manière différente (ou que j'aurais mal compris), mais  il y a une carence de témoin et il est bien dommage que Madame Rodriguez la Cadre du service qui devait participer à notre entretien au départ ait été désistée d'autant plus que c'est la seule personne à m'avoir écouté avec quelque empathie.
 
D'ailleurs, cette histoire de témoins me rappelle une histoire.
 
Quand avec Madame Doste l'assistante sociale cela a commencé à chauffer et qu'elle s'est prise au piège de ses premiers propos, elle a voulue que notre prochaine rencontre se fasse devant témoins. Sans relever cette incongruité à ce moment, je me suis quand-même demandé pourquoi.
Un professionnel aidant  qui dit la vérité a-t-il  besoin de témoins et un autre qui veut raconter des craques tient-il à s'en encombrer ?
 
Je viens d'avoir ma mère au téléphone qui me confirme  qu'elle n'a jamais dit qu'elle ne voulait plus que ses enfants s'occupent d'elle, et le coordinnateur est fort malin (voir un autre document sur ce site) d'insinuer une phrase dont le sens peut-être interprété de différentes manières surtout quand les intervenants dans l'histoire sont des gens en souffrance.
Tout au long de notre conversation (et d'ailleurs depuis le début de cette histoire depuis que ma mère est dans ce centre hospitalier)  il y a eu comme ça  des "incompréhensions" qui pourraient nous faire douter du professionnalisme du personnel du CRF ou de la malice du fils de la vielle comme cela a été insinué quelque fois. Nous voyons de la manipulation à tous les étages.
 
C'est peut-être en fait un véritable protocole mais allez savoir. Quand l'administration et la justice s'en mêleront, la mémé sera peut-être dans la tombe dans laquelle ces fait l'auront précipitée (mais ce n'est pas grave, la liste d'attente est longue en maison de retraite), il faudra bien que les soignants déclarent sous serment pourquoi ils informent de cette façon la famille.

Article en cours de rédaction à suivre très vite. :)

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