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Réponse à la mise en demeure au Directeur du CRF de Luchon

Rédigé par admin - -

Il est inutile de la publier cette lettre car elle ne nous donne hélas rien que nous ne sachions déjà c'est-à dire que Monsieur le Directeur se réfugie assez "sagement" derrière un secret médical de mauvaise augure surtout quand on sait l'importance de la famille dans le traitement de ce genre de problèmes.

Il oublie savamment les textes qui expliquent ses devoirs à ce sujet et contredit toujours sa vieille patiente qui elle raconte que oui, elle veut que son fils s'occupe d'elle. Tout le problème est là. Un sacré problème pour lui maintenant qu'il a fini par écrire ce qu'il ne voulait pas dire depuis plus d'un mois. Il y a un couac quelque part.

Et qu'on fait ses services pour aider à régler ce couac-là comme ils en ont les moyens et le devoir

Rien si ce n'est qu'ils ont envenimée mes choses et, si notre page Intervenant dans cette histoire ne comptait jusqu'à maintenant que 16 personnages principaux, nous y rajoutons aujourd'hui un médecin expert, un journaliste, un juge des tutelles, un futur tuteur et ses acolytes,  un Procureur de la République, au moins deux avocats, et sans doute toute une armée de scribouillards qui commencent à affûter leurs crayons.

...et des centaines voire des milliers de personnes qui attendent avec intérêt  de lire la suite de ce triste feuilleton médico/judiciaire.

Pour en revenir à la réponse céleste, la pleine page de justifications, textes législatifs à la clef, noircit du papier mais ne règle rien et ce n'est pas parce qu'il écrit...

"Nous sommes aujourd'hui dans le strict respect de cet alinéa (Art L 111-4)" 

... qu'il nous donne une information dont nous n'avons rien à faire.

Je pourrais lui répondre aussi avec les textes que nous connaissons mais le lieu n'est pas ici d'entamer une bataille juridique mais la notion du strict respect dont il se défend est sans doute lue d'une manière différente par ceux qui sont désormais ses adversaires. Il expliquera tout cela aux juges et nous verrons bien qui aura raison. :-//

"Vous évoquez enfin une situation de "présomption de maltraitance" envers votre mère, qu'il vous appartient de dénoncer auprès des autorités compétentes si vous êtes en mesure d'en apporter la preuve.
De notre coté, n'ayant aucun éléments qui nous permettrait de défendre de telles allégations, il nous est impossible de nous engager dans cette voie."

Des "allégations", il y en a plus de vingt pages sur ce site parce que le service social n'a pas voulu écouter les arguments pourtant bien fondés et les constatations médicales n'ont peut-être pas voulu être constatées. Qui sait ?

Un simple coup de fil au médecin traitant et aux membres de la famille (même en dehors de la fratrie) prouvait les dires du fils que vous avez malmené en jouant les aveugles sourds et muets et vous avez le culot de raconter ça un mois après ne pas l'avoir volontairement pas écouté malgré ses craintes et insistance ? 

Mais à qui allez-vous faire croire cela maintenant ?

Mais c'est vrai, le fils a commis une erreur au sujet de la maltraitance.

Il est venu vers vous car il pensait (et le pense toujours) qu'un autre vampire risquait de s'en prendre à sa mère et il se trouve que le manipulateur a changé de visage.

Tout acteur du secteur médical sait qu'une victime sous domination psychologique  "a plus ou moins besoin de cela " et que le premier venu mal intentionné peut exploiter sa faiblesse. Voire le créneau.

Je crois maintenant que "la victime" a changée de dominant et il va vous falloir expliquer pourquoi nous vivons tous cette salade.

Vivement qu'elle rencontre un spécialiste sur la liste de dix du Procureur qui cette fois-ci ne sera pas commis par vous-même car il semble que cela soit un peu facile.

On refuse au fils une protection juridique pour sa mère et on en demande une soi-même pour une autre raison en mettant justement le fils et le reste de la famille  à l'écart. Un peu gros non ?

Laissons (provisoirement) le mot de la fin à Madame la psychologue qui émarge chez vous qui me disait la semaine dernière...

"Je voudrais que nous travaillons ensembles car la famille est importante" ou quelque chose comme cela.

Tu parles !

Nous avons donc "la réponse" de la plus haute autorité du CRF de Luchon et, la plainte déposée, nous transmettrons copie de plus en plus loin et de plus en plus haut.

Luchon est une si petite ville: :-//

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